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Le sous-financement universitaire n’existe pas

26 septembre 2011


L’IRIS lance aujourd’hui à la fois son blogue, son compte Twitter et une série de vidéos sur la hausse des frais de scolarité. En diversifiant nos façons de communiquer, nous croyons pouvoir rejoindre un plus large public. Souvent un petit billet de blogue se lit mieux qu’une note socioéconomique, parfois une capsule vidéo convainc plus aisément qu’une étude.

Pour les neuf prochains lundi, vous trouverez donc ici des capsules qui s’attaquent aux mythes entourant la hausse des droits de scolarité universitaires. Largement inspirées de notre brochure sur la question, ces vidéos permettent à mon collègue Eric Martin et à moi-même de donner l’essentiel des arguments en deux minutes.

Pour cette entrée en matière, Eric s’attaque au premier argument des défenseurs de la hausse : le sous-financement universitaire. Non seulement il démonte l’idée selon laquelle nos universités seraient pauvres, mais en plus il souligne à quel point c’est l’attribution des ressources à l’intérieur même des université qui pose problème.

L’argument du sous-financement est la justification maîtresse derrière la hausse. Elle a été mise de l’avant par la CRÉPUQ dans son rapport Urgence d’agir pour les universités qui a ensuite été repris par le gouvernement et les médias. Sans cette idée-force de sous-financement une hausse aussi brutale devient injustifiable. Il est donc essentiel d’en comprendre les tenants et aboutissants.

L’IRIS tient à remercier Louis Asselin pour son travail de tournage, réalisation, montage et composition musicale et l’AFELC-UQAM pour sa participation au financement de cette capsule.

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